achats groupés

ACHATS GROUPÉS, L’ART DE SE FAIRE PLAISIR À TARIF RéDUIT 

Lors d’un achat groupé qui consiste à rassembler des acheteurs autour d’un même produit, le CSE peut bénéficier de conditions avantageuses, à savoir un « tarif grossiste » et profiter ainsi des meilleurs prix. Le choix est large et porte sur tous types de biens : des produits du terroir aux vêtements et accessoires de mode, en passant par des abonnements à des salles de sport. Toutefois, avant d’opter pour un prestataire déterminé, il est essentiel d’établir une liste des points à éclaircir, en l’occurrence les frais de livraison et la date limite de validité des prestations. 

Pour vous offrir un voyage aux mille saveurs à travers la France, en dépit de la crise sanitaire, MédiaCSE s’est penché sur les produits de nos régions. Comment effectuer un achat à moindre prix tout en permettant aux salariés de découvrir les productions locales par le biais des agriculteurs et des artisans locaux ? Cela sans omettre les produits de grandes marques puisque dans le cadre du CSE, des maisons célèbres font bénéficier également de belles réductions. Sommellerie de France, Roger Junca – l’Atelier du foie gras, Expert Frais, Le Goût de nos Régions… Le point sur les spécificités, les solutions et services proposés par les fournisseurs.

colis

COLIS GOURMANDS

Qu’on l’appelle « panier gastronomique » ou « corbeille plaisir », le colis gourmand a toujours le même objectif : offrir aux salariés l’occasion de déguster des produits locaux ou des friandises de qualité. Si dans ce secteur de nouvelles tendances font leur apparition, le terroir reste le grand gagnant. Avec, en tête, la sélection du foie gras.

L’INCONTOURNABLE FOIE GRAS

Pour beaucoup de prestataires de ce secteur, l’un des grands classiques reste le colis comprenant un assortiment de terrines, foie gras, vins ou liqueurs. Les CSE peuvent aussi se rapprocher directement des producteurs régionaux de foie gras. Le Sud-Ouest et l’Alsace sont les deux principales, régions françaises produisant le foie gras. De nombreuses conserveries artisanales de ces régions fournissent donc directement les CSE français. Si le foie gras est l’élément principal, la qualité est déterminante. Il ne faut donc pas hésiter à demander à goûter. Les producteurs adressent souvent des « échantillons », voire une gamme plus complète, qui sera facturée ou non suivant les négociations menées entre le fabricant et le CSE. Comme d’habitude pour le choix d’un foie gras, se pose l’éternelle question : oie ou canard ? Là, c’est à chacun de choisir selon ses goûts. Il y a aussi les différents types de foies : entiers, avec morceaux ou reconstitués. Comme il existe aussi différents modes de préparation : cru, frais, mi-cuit ou en conserve. Prendre en compte ces choix demande du temps, il ne faut donc pas hésiter à anticiper et commencer à se renseigner très tôt, même si la livraison n’intervient que dans la dernière partie de l’année.

logiciels

LOGICIELS DE GESTION, INTERNET

Le choix d’un logiciel de gestion engage souvent le CSE pour longtemps. Sécurité, choix du local ou du « full web », niveau de paramétrages adapté à vos besoins… Revue succincte des points à ne pas manquer.

Autrefois, la comptabilité du CSE se concevait simplement sous Excel. Mais le logiciel de Microsoft a beau être très efficace, il atteint ses limites pour gérer la comptabilité complète d’un CSE. Il est difficile à intégrer avec les autres outils du CSE et devient source d’erreurs si le trésorier qui a créé des formules compliquées quitte son poste, et que personne n’est en mesure de reprendre en main le système. Il faut alors envisager d’investir dans un logiciel de comptabilité ad hoc. Première règle à respecter, celle de la sécurité. Les données dont disposent les CSE sont en effet confidentielles. Les fournisseurs s’engagent à garantir la meilleure sécurité possible des informations qui leur sont confiées. Seules les personnes autorisées avec un identifiant et un mot de passe doivent pouvoir y avoir accès. PAS LE DRO­­­IT À L’ERREUR Autre besoin de sécurité, celui de retrouver ses données en cas de nécessité. La sécurité est d’autant plus importante qu’aujourd’hui les logiciels de comptabilité sont souvent associés à des sites internet munis de moyens de paiement en ligne. Ces formules « tout en un », avec leurs in-terfaces simples, évitent les manipulations et la multiplication des plateformes. Elles permettent d’automatiser les processus : ainsi, la revente d’un ticket de cinéma, son paiement en ligne et sa prise en compte dans la comptabilité se font en un clic. Reste qu’il n’est pas question de laisser « traîner » des données bancaires. Le système de sécurité sur Internet « https », plus sécurisé que le classique mode web « http », est une option qu’il est bon de souscrire.

communication

La communication du CSE

Le comité social et économique se doit de diffuser certaines informations comme les procès-verbaux des réunions. Mais il doit également établir une communication efficace, claire et régulière sur l’ensemble de ses actions envers les salariés. La réussite d’une sortie ou d’un voyage passe par une bonne communication.

La plupart des observateurs s’accordent à dire que les CSE communiquent peu ou mal. Ce constat est d’autant plus sévère qu’il concerne tous les niveaux auxquels devrait s’établir une bonne communication : entre les différents membres du CSE ; entre l’ensemble des représentants du personnel ; entre le CSE et la direction (difficulté à faire passer le point de vue ou les revendications des salariés) ; ou encore entre le CSE et les salariés. UNE NÉCESSITÉ La communication des élus du CSE est essentielle et c’est même un devoir ! En effet, elle constitue un pilier fondamental du rapport de force entre l’employeur et le CSE. Ce rapport de force sera d’autant plus efficace que l’information passera au sein du CSE. Tout le monde est gagnant : le CSE renforce sa légitimité auprès de la direction et des salariés et le personnel mesure l’efficacité et l’importance du rôle dévolu au CSE au sein de l’entreprise. Communiquer, c’est aussi un devoir, parce que le CSE est avant tout un organe représentant les salariés auprès de l’employeur. Il est une courroie de transmission entre la direction et le personnel. C’est la raison qui contraint le CSE à faire passer l’information, à la fois aux salariés sur les décisions de l’entreprise, et à cette dernière sur les revendications et points de vue du personnel. LES OFFRES Les moyens de communication se diversifient et se modernisent depuis quelques années. Le développement d’Internet y est étroitement lié. Sachez que l’employeur n’est pas obligé d’autoriser le CSE à communiquer via la messagerie électronique interne à l’entreprise. En revanche le CSE a le droit de prendre un abonnement internet propre à son bureau. Cependant, Internet n’est pas la solution la plus efficace. En effet, certains salariés n’ont pas d’accès à Internet depuis leur poste de travail. Il est toujours possible d’utiliser les supports dits classiques mais toujours aussi efficaces comme le panneau d’affichage, les lettres d’information, les réunions ou même les boîtes à idées. Autre forme de communication qui permet de récolter les commentaires des salariés : les sondages et les enquêtes.

formation

FORMATION, ASSISTANCE, CONSEILS AUX ÉLUS

Lorsque l’on vient d’être élu membre du comité social et économique, il est indispensable de connaître les missions que l’on va exercer. Une formation s’impose. La loi d’ailleurs offre une telle possibilité. Mais il est aussi primordial, au cours du mandat, de suivre une formation sur un sujet particulier auquel le comité se trouve confronté…

SE FORMER, UNE NÉCESSITÉ

Une formation économique de cinq jours ouvrables est de droit pour tous les membres titulaires du CSE. Renouvelable tous les quatre ans, elle est réservée aux seuls titulaires. Dispensée sur le temps de travail avec maintien intégral du salaire, cette formation doit être financée sur le budget de fonctionnement du CSE. L’employeur ne peut pas refuser que les représentants du personnel bénéficient de cette formation, sauf s’il obtient l’avis conforme du CSE. Quant aux suppléants, ils peuvent également suivre cette formation, dès lors que :

– Le comité en assure le financement,

– L’employeur accorde une autorisation d’absence,

– La question du maintien de la rémunération est réglée, puisque l’entreprise n’est pas légalement tenue de payer les salaires des suppléants partis en formation. En outre, les représentants du personnel bénéficient de 12 jours de congé de formation économique, sociale ou syndicale. Ce congé peut être pris en une ou plusieurs fois, avec un minimum de deux jours consécutifs.

SE FORMER TOUT AU LONG DU MANDAT

Dans de nombreux cas, des formations complémentaires s’avèrent nécessaires au cours du mandat, en raison :

– De l’évolution du droit, ce qui peut en-traîner des modifications des règles de base régissant les fonctions et les attributions du CSE,

– D’évènements propres à l’entreprise (restructuration, fusion, plan de sauve-garde de l’emploi, droit d’alerte, introduction de nouvelles technologies) contraignant les représentants du personnel à se doter des connaissances nécessaires.

Tous les organismes de formation ont un catalogue proposant toutes ces formations. Elles peuvent se dérouler en externe ou en interne. En externe, elles s’adressent à des représentants du personnel venant de plusieurs entreprises. Elles présentent l’avantage de permettre aux participants d’échanger sur leur propre problématique et de se nourrir de l’expérience des autres. En interne, elles sont conçues spécifiquement pour le CSE qui en a fait la demande. Elles permettent ainsi de « coller » au plus près aux besoins des représentants du personnel qui suivent ces formations. Dans tous les cas, ces formations sont à financer directement sur le budget de fonctionnement du CSE. Le temps passé en formation est pris sur les heures de délégation. Le président du comité doit être informé, par courrier, au moins trente jours avant le début du stage. Il est à noter toutefois que les formations syndicales dispensées par les organisations syndicales ne peuvent pas être financées par le budget de fonctionnement du CSE (Cassation, chambre sociale, n°11-10825, 27 mars 2012.)

juridique

DOCUMENTATION JURIDIQUE

Ces dernières années, les ouvrages et revues papier ont tendance à disparaître des locaux du CSE. Les élus les ont délaissés, préférant aller chercher l’information sur Internet.

UNE DOCUMENTATION DE BASE NÉCESSAIRE

Pour exercer au mieux leurs missions, les représentants du personnel doivent se constituer une documentation juridique de base. Outre un Code du travail et de la sécurité sociale, un ouvrage est indispensable. En effet, plusieurs éditeurs proposent des ouvrages qui analysent le droit social en y incluant toutes les normes juridiques : loi, jurisprudence, circulaires administratives. Sur ce marché, on trouve des ouvrages généralistes s’adressant à tous les praticiens du droit au sein de l’entreprise, d’autres ciblent plus spécifiquement les directions et quelques-uns sont conçus pour les seuls représentants du personnel. Le droit devenant de plus en plus com-plexe, des ouvrages sur des sujets plus pointus sont également proposés, qu’il s’agisse de la paie, de la protection sociale, de l’expatriation ou de la gestion du personnel. Si les élus de grandes entreprises peuvent voir un intérêt à les acquérir, ceux de structures moyennes ou petites doivent faire le choix plutôt d’un ouvrage généraliste. Mais avant de souscrire un abonnement, n’hésitez pas à demander à l’éditeur de faire un essai de quelques mois pour vous familiariser avec la structure de l’ouvrage et, surtout, pour vérifier que son contenu correspond bien à vos besoins. Il existe des ouvrages se présentant sous forme de brochures avec des mises à jour régulières afin d’y intégrer les évolutions législatives, réglementaires ou jurisprudentielles. D’autres, en feuillets mobiles, nécessitent qu’ils soient scrupuleusement actualisés, en remplaçant les pages obsolètes. A défaut, l’information peut être erronée. Pour les représentants du personnel qui sont résolument tournés vers le numérique, tous ces ouvrages sont également disponibles sur Internet. L’abonnement proposé par les éditeurs permet aujourd’hui d’avoir accès à l’ouvrage désiré en ligne. Tous les éditeurs ont ainsi conçu des sites sur lesquels leurs abonnés peuvent consulter l’ouvrage auquel ils ont souscrit.

contentieux

Contentieux relatifs au PSE

Quels moyens d’action du CSE ?

Définition du PSE
Avec la crise de la Covid-19, le nombre de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) a explosé ! Entre début mars 2020 et la troisième semaine d’octobre, 567 PSE ont été initiés, concernant plus de 62 000 salariés (étude DARES). Un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) doit obligatoirement être mis en place dans les entreprises de 50 salariés au moins lorsque le nombre de licenciements est au moins égal à 10 sur une même période de 30 jours. Ce plan a pour objectif d’éviter ou de limiter les licenciements et de faciliter le reclassement des salariés. La loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l’emploi a totalement modifié le droit relatif aux licenciements économiques. Le PSE peut être mis en place : – soit par un accord collectif majoritaire, – soit par un document élaboré unilatéralement par l’employeur qui devra alors être homologué par la Direccte, dans le cadre d’un contrôle plus poussé, – ou encore par un accord majoritaire partiel portant au minimum sur le PSE, complété par un document unilatéral rédigé par l’employeur. Le PSE est un document complexe à rédiger, devant respecter de nombreuses dispositions de la loi. Il donne lieu à une information/consultation du CSE (comité social et économique) encadrée par des délais très stricts. La complexité de la procédure, le contenu du PSE et sa justification donnent lieu à de nombreux contentieux. Les élus du CSE peuvent engager une procédure judiciaire pour contester tout ou partie du PSE, ou des modalités d’information/consultation. Se pose alors la question du juge compétent en matière de contentieux.

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Street art les visites urbaines prennent des couleurs

Il s’affiche en format XXL sur les façades aveugles des immeubles ou en version intimiste sur le mobilier urbain : le street art est désormais partout en ville. Art méconnu mais de plus en plus apprécié, il fait l’objet de visites thématiques et guidées passionnantes. A tester impérativement, d’autant plus que la visite street art est particulièrement adaptée à la sortie en groupe, même en temps de crise sanitaire.

Le musée idéal à l’époque du Covid existe : c’est la Ville elle-même. Véritable galerie de plein air, aérée et distanciée, toute ville est saturée de peintures sauvages, de tags et de graffitis, de fresques colorées et surdimensionnées que les offices de tourisme n’ont pas manqué d’organiser sous forme de « parcours street art ». La démarche bien sûr ne date pas de 2020. L’offre de balades guidées sur cette thématique se développe depuis quelques années, souvent sous l’impulsion d’associations ou de collectifs d’artistes graffeurs. Et avec la bénédiction de municipalités conscientes de détenir là une nouvelle manne touristique. Une occasion unique pour le public de découvrir des œuvres mais aussi de comprendre l’histoire de cet art et les modes opératoires des artistes. Pratique par nature éphémère, fulgurante et fragile, mais surtout illégale, le street art est né dans les années 60 aux États-Unis. Graffiti, pochoirs, stickers, projections, peinture à la bombe aérosol, les artistes ont utilisé une multitude de techniques (et de supports : métro, murs, surfaces publiques…) pour donner vie à leurs œuvres. Dans les années 90, alors que Paris est taggé de toutes parts, quelques noms se distinguent : Jérôme Mesnager, Jef Aérosol… Il faudra des décennies avant que le street art ne perde sa dimension de « dégradation » et de « provocation » pour s’institutionnaliser peu à peu. Désormais il a même trouvé sa place sur le marché de l’art contemporain… Heureusement il reste accessible à tous dans l’espace public. Nous avons choisi de vous faire découvrir quatre hot spots en France, quatre territoires à la pointe du street art.

billeterie

Le marché de la billetterie :  une embellie en perspective ? 

Plus que jamais, les salariés rêvent de fréquenter les cinémas, les parcs d’attractions ou animaliers, les salles de concerts et les salons grand public. Pour satisfaire ce désir élémentaire de culture et de loisirs, le CSE peut compter sur l’offre des prestataires spécialisés. Tous ont à cœur de faciliter la gestion par les élus et d’offrir aux salariés un accès au monde enchanté de la distraction.

Si le marché de la billetterie a connu une baisse de régime au regard du contexte de la pandémie, on entrevoit malgré tout quelques lueurs d’espoir pour les mois à venir.. En ce sens, sécurité et plaisir sont les mots d’ordre des professionnels du secteur qui déploient tous les moyens pour séduire des Français plus que jamais en quête de distraction. Zoom sur Carrefour Pro, ConseilCE, Ca c’est Paris ou encore ZooParc et hôtels de Beauval qui se démarquent par une offre plurielle, une gestion flexible des commandes, ainsi que des modalités de remboursement et de réservation simplifiées.

Illicado
Connue pour sa carte cadeau multi-enseigne, numéro 1 en France, Illicado offre une solution digitale complète CSE pour optimiser le travail des élus. Vous gérez vos missions avec des outils simples et efficaces via un site dédié et créez vos contenus en quelques clics. La page billetterie permet l’ajout de vos offres et produits ainsi que la gestion et le suivi des stocks. Vos bénéficiaires accèdent également au large réseau de partenaires de l’enseigne, décliné en dix univers : généraliste, culture, mode et accessoires, multimédia et électroménager, beauté et bijoux, jouets et puériculture, maison et décoration, sport et évasion, saveurs, grands magasins.

Carrefour Pro
Partenaire des loisirs des CE/CSE depuis 25 ans, Carrefour Pro (dont le slogan est : « A chacun ses sorties, à chacun ses envies ») a réussi son pari en proposant une solution billetterie complète qui s’adapte aux besoins des salariés. Théâtre, opéra/classique, comédies musicales, parcs, cinéma, sport, expositions, salons, tous les univers de la culture et des loisirs sont représentés au travers de plus de 60 000 manifestations dans les quelque 17 000 lieux répartis sur le territoire français. Pour s’aligner sur le budget du CSE, les événements sont, bien entendu, négociés à des tarifs CSE, incluant de nombreuses exclusivités et promotions. Cerise sur le gâteau, la première billetterie de France de la grande distribution octroie régulièrement à ses clients des avant-premières qui ne pourront que ravir celles et ceux en quête de nouveautés et d’émotions inédites. Carrefour Pro et Carrefour Voyages satisfont aussi les CSE via un panel large et varié de voyages en groupe : circuits, séjours, croisières, week-ends, nuits d’hôtel, billets d’avion et de train, autocar… En France et partout dans le monde une équipe est à l’écoute des élus pour un service sur mesure sur l’ensemble des prestations.



Evenements

Événements

Réouverture du musée de la Chasse et de la Nature, à Paris – C’est un musée décalé, aménagé comme un gigantesque cabinet de curiosités où l’animal sauvage tient la vedette. S’y juxtaposent des collections scientifiques et des œuvres d’art contemporain. Longtemps fermé pour travaux d’agrandissement, le musée offrira désormais un parcours enrichi, avec de nouvelles salles et des acquisitions récentes. Printemps 2021. www.chassenature.org

Semaine fédérale internationale de cyclotourisme – Voilà de quoi remettre en selle nos interactions sociales bien impactées. Et en plein air, en plus ! Chaque année, la Semaine fédérale internationale de cyclotourisme est organisée en été dans un nouveau département. Pendant une semaine, plus de 12000 cyclotouristes internationaux se réunissent pour découvrir à vélo un nouveau territoire. En 2021, c’est au tour de Valognes (dans la Manche) d’accueillir la 82ème édition. On bat le rappel des collègues ! www.valognes-sf2021.com Réouverture de deux fleurons parisiens – Cette année sera-t-elle la bonne ? On espère la réouverture du musée Carnavalet qui abrite les trésors historiques de la ville de Paris, mais aussi l’inauguration de l’Hôtel de la Marine, l’ancien garde-meuble de la Couronne. Avec son grand balcon donnant sur la place de la Concorde, il sera transformé en lieu de vie (visites des salons d’apparat, mais aussi salon de thé, boutique, épicerie…).

par Valérie Appert